Verhaeren conclut [une conférence en 1912] en disant l'enthousiasme qu'il éprouve pour son siècle, le plus beau, le plus vivant, en proclamant son amour pour la vie, où tout est beau, même la mort, même la souffrance, qui nous donne la joie de la combattre et d'en triompher.
Émile Verhaeren